Quand la magie rime avec rêve { Damon

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Cela fesait déjà quelque semaine que j'avais rencontrer le nouveau venu. Enfin, rencontrer...c'est y aller un peut fort. Cependant je devais dire, qu'en plus d'être mystérieux et un je-ne-sais-quoi, il était craquant mais alors là, vous ne savez pas à quel point. Un sourire à vous faire fondre si vous ne l'étiez pas déjà lorsqu'il vous as regarder avec ses superbes yeux et son visage, si parfait digne des plus grands mannequins. Je devais méditer sur ce fait. J'étais Elena Gilbert, et ce garçon me plaisait, et puis bon je le voulais. Pourquoi me résisterait-il ? Je ne sais même pas pourquoi je me posais la question. Seulement mon instin me disait que il n'était pas comme les autres et jamais au grand jamais il se laisserait avoir si facilement. Je longea la rivière puis marcha jusqu'à l'arbre ou j'allais souvent avec mon père et ma mère lorsque j'étais petite. J'adorais y aller et je ne m'en suis jamais fatiguée d'ailleurs. Je m'assoiya sous mon arbre et regarda l'eau à mes pieds, décidant finalement d'y plonger, je retira mes vêtements puis plongea et au bout d'un moment remonta et se rhabilla toute trempée car j'avais avait froid. J'avais vu de gros nuage noir, comme jamais avant arriver, mais comme ils étaient loin je décida de rester quelques minutes sous l'arbre ou je finis par m'endormir.

Je savais que je m'étais endormie, mais j'étais trop bien, dans ma couverture de laine, spécialement apportée pour l'occasion que je ne voulu même pas me réveiller. J'entendis des pas au loin, qui avançais vers moi, je resta couchée, yeux fermé, après tout c'était peut-être un passant, qui se promenais et rentrait chez lui après avoirs vu les nuages... les nuages, ceux qui s'en venait... ceux qui transportait la pluie qui a présent se déversais sur moi... Les pas se rapprochait de moi, mais ne semblait pas être ceux d'un humains car ils était étouffée. Un animal sans doute, il y en avait beaucoup ici. Pourquoi ne m'ouvrais-je pas les yeux? Il pleuvait et quelque chose se dirigeait vers moi, un ours peut-être ? Impossible, il n'y en avait pas ici. Un animal sans danger surment. Je resta les yeux fermé pendant un long moment, recouvrant ma tête de la couverture de laine toute trempée à présent pour me "proteger" de la pluie.

J'ouvris les yeux car je n'entendais plus de bruit de pas, plus de pluie et je ne savais pas depuis combien de temps je dormais...un homme, que dis-je là, un dieu se tenait devant moi. Il était grand, beau et surtout mystérieux et me fesait un peu penser à Stefan. Un lien de parenté ? Nan surment pas. Après tout il y avait toute sorte de dieu, beau, grand, musclé et mystérieux non ? Je le regarda longuement sans trop savoir quoi penser ou quoi dire.
- Salut... dis-je finalement au jeune homme.

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- Disons plutot .. Que c'est un retour aux sources! Moi et mon frangin sommes nés dans le coin . Tu connais Stefan je crois . Aah petit petit frère .. On peut se tutoyer . Je ne suis pas si vieux que ça .

C'est à lui qu'il me fesait penser. Stefan Salvatore. Ses yeux vinrent croiser les miens et il me tendit la main. Du sang affluère à mes joues et je rougit. Je pris sa main en signe de politesse.

- Je m'appelle Elena. Elena Gilbert. Enchantée de faire ta connaissance. Je lui souria. Un petit sourire qui voulait tout dire. J'était vraiment contente de le rencontrer.

Il se remit à pleuvoir. Ce n'était vraiment pas un rêve. Je le regarda enlever sa veste de cuir, son t-shirt puis le remettre. Dommage... Je le regarda puis il resta debout.

- Assis, toi. Ce n'est pas vraiment confortable mais au moins jusqu'à ce que la pluie cesse.

Je chercha la couverture pour la mettre sur moi. Je finis par la trouver. Mais je renonça, elle était toute mouillée. Je la reposa près de moi puis monta mes cheveux en chignon pour essayer de les sécher, enlever le surplus d'eau au moin. Opération surplus d'eau dans les cheveux échouer, je l'ai laissa retomber.

- Ce que je hais la pluie.

Je lui souria puis me remis à le dévisager. C'est comme si il m'ensorcelait, m'hypnotisait et/ou me fascinait. C'était pas désagréable, seulement personne d'autre m'avait fait cette effet. Si Stefan. Peut-être que les Salvatore était des dieux sorti de nul part pour notre propre plaisir, nous simple habitants de mystic Fall's. J'avais juste la chance de rencontrer les deux. Par un heureux et beau hasard. Des genre de magicien qui fait que nous ne pouvons, nous les simples gens, détacher nos regard d'eux. La vie est tellement remplis de rebondissement. Je rencontre deux frères qui sont extrêmement beau, l'un deux va au lycée ( Note à moi-même, demander à Damon si il iras au lycée ) peut-être les deux. Les deux sont si gentil, et galant. si je pourrais je me mettrerais à genoux, et remercirait le ciel pour tout ça.

- Tu va t'inscrire au même lycée que Stefan, ont pourrais s'y voir... j'y vais aussi ?

Faites qu'il dise Oui, s'il-vous-plait.

Je la regardais alors qu'elle rougissais, oh c'était craquant a souhait de voir ses joues rouges . L'odeur de son sang encore plus intensifié du coup . J'attrapai ma veste et la secouais un peu , voyant le reste d'eau dégouliner, et oui c'est ça l'avantage du cuir , ça ne s'imbibe pas de flotte sinon ça serais franchement galère ! Je passais une main dans mes cheveux sombres que je tirais doucement pour vérifier qu'ils ne bouclent pas .

- Hm, sans doute pas aussi ravie que je le suis , Oh très charmante demoiselle au nom d'autant plus charmant . Il te va a merveille sais tu .

Je regardais autour de nous, le calme plat a part la pluie , et encore le bruit étais nettement étouffé par la neige au sol, sinon vu l'averse ça ne passerais pas inaperçu .

- En si charmante compagnie , peut importe l'endroit je me sentirais totalement a ma place ne t'en fais pas pour ça .

J'essayais d'essorer un minimum sa couverture mais en attendant retirais une nouvelle fois ma veste et la couvrais endouceur pour ne pas qu'elle ai trop froid puis repoais la couverture en atttendant qu'elle sèche , regardant doucement l'humaine en éspéran qu'elle n'ai plus trop trop froid maintenant .

- Moi aussi . Mais ne t'en ffais pas, ça va aller .

J'aurais adoré sonder ses pensées en ce moment elle, ça promettrait d'être très très interessant . Mais je suppose que je n'ai d'autre choix d'attendre qu'elle parle. Je la contempais cependant, les yeux pétillant de malice, elle était superbe , réellement superbe . Elena .. lumière en italien . Ou bien .. Rayon de soleil si on veut . Je pouvais voir l'éclat dans ses grands yeux bruns . Et non de dieu ce qe ça me rendais heureux en ce moment meme . Je rit a sa question et secouais doucement la tête

- Non .. je suis trop vieux pour le lycée . Mais qui sait, je pourrais être prof .. D'italien .. D'anglais .. D'histoire . Ca pourrais être franchement drôle!

C'était une idée

- Ca me fais penser que je devrais aller au lycée .. Parler de la scolarité de mon frangin avec les profs

- Tient donc, mon petit frère ose ouvrir sa bouche devant des adultes! Y'a du progrès ! Lui qui est un vrai modèle de vertue complètement coincé et psycho rigide .

Je pouffais de rire, vraiment nimporte quoi ça . j'avais hâte de parler de ça avec mon frangin pour savoir ce qu'il a dis exactement . Il serais franchement temps qu'il prenne exemple sur moi ! Il étais tellement plus marrant a l'époque ou il se nourrissais normalement ce bougre! Faut qu'il fasse tout le temps son pauvre petit gentil .

- Non . Je ne l'aime pas . Je le déteste carrément si tu veut savoir . Mais je suis la seule famille qu'il a encore donc je suis obligé d'être son tuteur légal et de m'occuper un minimum de lui en temps que grand frère . Mais ce n'est pas moi qui vais aller le réconforter si ça va pas , ou qui vais etre agréable . Il m'a trop pourri la vie avec quelque chose, pour que je puisse lui pardonner .. pour l'instant .

Je la suivais des yeux alors qu'elle se relevais , je ne perdais pas une miette du moindre mouvement qu'elle faisais . Elle étais belle , très belle même . J'aimais cette expression si douce dans ses grands yeux, ce petit air vulnérable qui donnais envie de la caliner .Je reposais ma tête contre l'arbre et rit malgré moi alors qu'elle me décrit et m'annonça ne pas du tout me voir en prof .

- Bravo t'as tout compris a mon sujet ! je suis libre, sans loi, personne ne me dit quoi faire ça c'est certain . Et désolé de te l'annoncer , mais j'ai une décapotable a défaut d'avoir une moto, je n'aime pas outre mesure les deux roues . Mais je serais un très bon prof . Je suis cultivé , ne te fie pas a mon apparence

Bon je passais pas mes journées plongé dans les livres comme mon frère .. Moi je préfère être plongé dans la contemplation de jolies filles a qui je ferais du charme avant de les vider de leur sang .

- T'en fais pas . Ca me dérange pas de parler!

Elle se remit a me regarder, bon au moins ça prouvais que je faisais mon petit effet . Je gardais mes yeux dans les siens sans ciller une seule petite seconde , je ne me lassais pas de la regarder moi non plus . On ne se lasse pas de ce qui nous plait je suppose . Je pris un bout de papier et un stylo dans ma poche, j'avais fais des mesures tout a l'heure dans la maison donc ça tombais bien . j'arrachais un bout de la feuille et notais mon numéro de portable soigneusement puis lui tendais .

- Tient, au cas ou t'as envie de me revoir avant de devoir m'appeler Monsieur au lycée .

- Non . Je ne l'aime pas . Je le déteste carrément si tu veut savoir . Mais je suis la seule famille qu'il a encore donc je suis obligé d'être son tuteur légal et de m'occuper un minimum de lui en temps que grand frère . Mais ce n'est pas moi qui vais aller le réconforter si ça va pas , ou qui vais etre agréable . Il m'a trop pourri la vie avec quelque chose, pour que je puisse lui pardonner .. pour l'instant .

- Je comprend, parfois...les gens nous font mal, et nous avons difficulté à leur pardonner. Mais tu sais, il est mieux de pardonner que de rester avec quelque chose sur le coeur. Pourquoi ne lui dit-tu pas ce que tu n'aime pas chez lui ?

Je connaissais ce sentiment. Je l'avais vécu. Tous l'ont vécu. J'avais par exemple pardonner à tout ceux qui m'avait fait tant de mal. Que ce soit mon frère, ma mère, mon père ou même ma tante.

- Bravo t'as tout compris a mon sujet ! je suis libre, sans loi, personne ne me dit quoi faire ça c'est certain . Et désolé de te l'annoncer , mais j'ai une décapotable a défaut d'avoir une moto, je n'aime pas outre mesure les deux roues . Mais je serais un très bon prof . Je suis cultivé , ne te fie pas a mon apparence.

- Bah une décapotable, une moto. C'est quand même la classe!

Je n'aimais pas la voiture que j'avais et j'aurais échanger pour tout au monde ma voiture pour celle de Damon. Ont parle quand même ici d'une décapotable.

- Tient, au cas ou t'as envie de me revoir avant de devoir m'appeler Monsieur au lycée .

J'eus un petit rire. biensur que j'aurais envie de le revoir.

- Si jamais, j'ai envie de te revoir après que tu sois devenu Monsieur Salvatore, est-ce que je peut ?

Bien sur, c'était pour rire.J'étais sure qu'il m'appréciait un temps soit peu. Je m'approcha un petit peu de lui. Je mit son manteau comme il le fallait et finit par remonter la fermeture eclair. J'avais froid. Le vent tournait peut à peu et si la pluie ne finissait pas bientot, je serais complètement frigorifiée.

- Biensur que oui . Et pas de monsieur qui tienne . Pour toi ça sera toujours Damon .

- Super alors.

J'était si contente. D'ailleurs cela devait paraître un petit peu. Je devais avoir cette expression de petite fille qui ouvre ses cadeaux. Après ça, qu'on dise que je ne suis pas la plus chanceuse de la terre!

- Dès que la pluie se calme un peu on va dans ma voiture, tu es congelée ma pauvre .

Je posais ma tête dans le creu de son cou et regarda la pluie tomber alors que Damon me caressait les cheveux.

- Oui, C'est vrai j'ai froid. Mais sa peut aller...

Orgeuilleuse comme dix que je suis. Je n'allais pas lui dire que je n'attendais que ça...En plus cette stupide pluie ne cessait jamais... Il y avait déjà un moment que j'étais avec lui sous cette arbre et pas que sa me déplaise je n'ai jamais vu la pluie tomber aussi longtemps. Dans un même moment, ont s'entend.

- Quelle belle impression de notre ville tu doit avoir, enfin du moins ce qu'elle en est devenue, une ville humide ou il pleut toujours... Je t'assure ce n'est pas toujours comme cela.

Je ferma les yeux. Il était vrai, il fesait presque toujours soleil. Tout le monde était toujours dehors et ça c'était vraiment chouette. C'était quand même une belle ville dans laquelle j'étais née. Ça je devais l'admettre. J'étais si bien, j'aurais presque voulu m'endormir comme ça. En fait, je sentais ses doigts entre mes cheveux et je devais presque lutter pour ne pas le faire justement. J'ouvris les yeux car je n'entendais plus un son, plus le son de la pluie. Il avait arrêté de pleuvoir. Enfin.

- Tiens, il as arêté de pleuvoir. Tu va voir la ville est meilleure sous cette angle. Toujours des jeunes qui trainent dehors, enfin...tu connais quoi !

Je rougis lorsqu'il me dit qu'il me trouvait jolie. Il me prit dans ses bras et m'enmena jusqu'à sa voiture m'ouvrant la portière pour que je m'y installe. Je ressentis quelque chose à son contact, quelque choses, qui même en cherchant au plus profond, je ne trouva pas ce que cela pouvait bien être.

Je posa ma main sur la sienne un instant avant de la retirer et lui souria.

- Si tu veux ont peu faire quelque chose ensemble, pour mieux se connaître. Je ne veux pas aller chez moi tout de suite, je crois que personne n'y est encore une fois et j'aime pas trop me retrouver toute seule.

C'était vrai, mais surtout je voulais savoir si se sentiment reviendrais. Il était assez rare que quelque chose comme cela m'arrive et je voulais en profiter. J'avais eu le même sentiment en voyant Stefan, peut-être étais-ce caractéristique des Salvatore ? Non, impossible. J'espèrais juste ne pas craquer complètement, devenir follement amoureuse des deux frères et ne plus savoirs quoi faire, qui choisir parce que d'un côté je ferais du mal à un, et de l'autre côté à l'autre. Je n'aimais pas faire du mal à quelqu'un et serait incapable de prendre une décision. Peut-être étais-ce seulement un sentiments qui me poussait à imaginer. Comme un rêve, ce que je pourrais être à ses côtés. Il était sure que je me voyais bien avec un et l'autre. Bon, je devais arrêter, l'imgination sa me connaissait, et la je partirais avec un mariage et tout. J'était comme ça, et les gens pouvait bien me trouver un peu folle sur les bord lorsque je leurs racontait ceci.

Trop craquante avec ses belles joues toutes rouges , ça me donnais presque envie de mordre dedans . Non je rigole . Je me promettais au même moment de ne jamais la mordre, pas elle .. Elle n'étais pas comme les ordres, elle ce n'étais pas du sexe ou du sang que je voulais ! C'était .. Elle . Et c'était ridicule . Ca me mettais en colère de tomber sous son charme, je m'étais promis de ne plus jamais faire la même erreur, accorder ma confiance aux femmes . Ca fais trop mal .. Beaucoup trop mal .. je ne voulais plus ressentir la même douleur encore une fois . Ma gorge s'était serrée en repensant a toutes ces années ou je m'étais éfforcé de mentir .. Et de dire que la douleur avais disparu , avec le sang . C'était faux .. Tellement faux . Non elle n'étais pas partie . J'avais fais semblant, du début jusqu'a la fin . Mais Elena, ce n'est pas Katherine. Et elle est LA , la différence . Elle mérite d'avoir sa chance .

- Le grill ? Bof, pas franchement personnel comme endroit . Trop de monde . Je pensais plutot a un endroit tranquil, juste toi et moi . On peut aller chez moi si tu veut . je sais pas si Stefan t'as déjà fais visiter .. Mais c'est sympa . On serait au chaud pour discuter .

Sans idées perverses figurez vous, voila qui m'étonnais , mais bon . En plus j'avais carrément beson de me changer, j'étais complètement trempé, de la tête jusqu'aux pieds, et un jean mouillé c'est franchement pas agréable . Je la regardais a sa " déclaration " .

- Moi aussi je suis heureux de te connaitre Elena .. Sincèrement

Et moi qui suis sincère, ca arrive pas souvent . Je la regardais reprendre ma main et lachais le volant pour la serrer en douceur, avec une tendresse que je ne me connaissais pas . J'avais envie .. De la serrer dans mes bras, la protéger .. L'aimer aussi longtemps qu'elle le voudrais bien . Ca faisais tellement de mal et tellement bien a la fois . Ca me faisais vraiment bizarre,je ne savais plus franchement quoi penser moi maintenant . Je la regardais tendrement et m'approchais pour embrasser sa joue une nouvelle fois .

- Mais on peut aussi aller au grill si tu veut boire un verre et jouer au billard ou je ne sais quoi . Comme tu veut . Les deux me vont!

Aller chez lui, aller au Grill. Lui et moi ou lui et moi et... Pleins d'autres gens. Le choix était facile. Je voulais qu'il me tienne encore dans ses bras comme il l'avait fait avec tellement de douceur qu'on aurait pu croire que j'était si fragile qu'il aurait pu me briser en deux. Comme si j'était quelque chose de fragile qu'on devait Transporter avec le plus grand soin. Je pris le soin de prendre mon temps. Alors que mon choix était fait depuis le début.

- J'aimerais bien aller visiter chez toi. Nous pourrions apprendre a mieux nous connaître.

Je croisais les doigts pour que nous ne fassions pas que parler . Il me fessait perdre la tête chaque fois qu'il me touchait, par sa volonté ou non. Je perdais toute notions du temps alors que j'étais seule avec celui-ci. La seule chose que je voulais m'était... inaccessible...la seule chose que je voulais c'était lui ; sentir ses lèvres contre les miennes. Sentir son souffle sur ma peau, le toucher, lui parler, être a ses côté pour toujours ...

- chez toi se seras très bien finis-je par dire un peu pour moi-même

Elle semblais réfléchir a ma proposition , en même temps je comprenais un refus, elle ne me conaissais pas et vu ma réputation elle devrait se méfier, tout le monde en ville sait que je suis un coureur , pleins de filles en ont déjà fais l'experience d'ailleurs . Et aucune ne s'en est ressorti sans morsure , il faut bien l'avouer . C'est pas ma faute, je ne résiste vraiment pas . Leur sang est trop bon . Puis c'est tout ce qui m'attire chez les femmes en général, leur sang, leur corps . Je profite d'elles, jamais aucun sentiment . Mais avec Elena c'était tellement différent . Ces sentiments me faisaient peur, et me rendaient fou . J'étais presque en colère de ressentir quelque chose . Je ne voulais pas souffrir, depuis 145 ans je me refusais quelconque sentiment et voila .. Qu'ELLE débarque .

- Biensur , très bonne idée . Je suis sur que la pension te plaira énormément, malgré son style assez .. Ancien . Mais Stefan refuse que quoi que ce soit change . Ce type est pire qu'un vieux, dès qu'un de ses repères change il est totalement perdu ..

Je rit doucement, un peu normal , mon frère a 162 ans, et moi encore plus, mais moi je m'adapte a chaque nouvelle époque, Steefan c'est une autre paire de manche. Mais bon, je m'en foutais, le jour ou ça me saoulerais tout changerais ! Mais pour l'instant le côté pitoresque me va bien . j'aime passer des heures sur le sofa près de la cheminée , penser, boire sans limites, être tranquil avec ma musique en fond . Et maintenant, avec Elena . Je la regardais longuement et sourit .

- D'accord , ça me va . Attache toi princesse .

J'allumais le contact de la voiture et engageais la marche arrière pour aller ensuite tranquillement vers chez moi

- C'est un honneur pour moi alors.

Peu de gens entrait dans la pension, et il m'enmenait, moi une parfaite inconnue chez lui. C'était vraiment un honneur alors... J'avais vraiment hâte d'y être, et de voir se qui arriverait. Voir si je pourrais me retenir. Voir jusque où je pourrais aller sans lui sauter dessus. Les défi, ce que j'aimais ça!

- C'est génial ! Ce serait avec plaisir Damon !

Comme ça, ont ne s'ennuyait pas avec lui. Génial, je détestait m'ennuyer. Je devrais lui parler aussi de moi.

- Bon, comme tu m'as parler de toi, ce serait un peu injuste que je ne te parle pas de moi. Alors, j'ai un frère, plus jeune que moi. Mes parents sont mort dans un accident de voiture, et j'étais avec eux. Il n'y as que moi qui s'en ai sorti, par un miracle que je ne saurais expliquer. Ce que j'aime, la musique. Un peu de tout, mais j'écoute plus ce que les autres élèves de l'école écoute. J'aime bien être à la mode, les dernières nouveauté et tout. Je dois avouer que j'aime bien être aimé des autres. C'est un vilain défaut je sais. Ce que je déteste, certaines fille qui regardent trop les autres de haut, Je déteste m'ennuyer, donc je n'aurais qu'à me tenir avec toi. Je me mise à rire. Je crois que c'est tout.

J'enlaçais ses doigts avec les miens, j'étais maintenant prête à tout pour seulement le toucher. Je ne crois pas que cela montre, quoi que ce soit. Enfin, peut-être...mais peut-être pas non plus. Je n'en savais pas grand chose sur ce domaine là, car mes jeux de séduction, si cela en était vraiment un, s'arrêtait au delà, de mes vrais connaissance, jamais à un inconnu. Mais en ce moment, c'était plus fort que moi... Comme un besoin que je devait combler, à tout prix. Je le regarda longuement. Comment arrivais-je à ne pas l'embrasser. À tenir sa main, sans lui demander d'arrêter la voiture et lui demander de m'enlacer doucement et de m'embrasser langoureusement et avec passion. Je sentais mes cheveux flotter dans le vent et je me calla dans mon siège. J'étais vraiment bien et je crois que je le serais encore plus une fois rendu à la pension.

- Oh, et bien.. J’accepte ton invitation Damon. Mais je devrais passer chez moi, à moins que tu me passe les vêtements de belles jeunes femmes qui sont déjà venu coucher à la pension. Parce que, de beaux jeunes hommes comme vous deux, ont en trouve pas à tout les coins de rue, et je suis certaines qu‘il y en as plusieurs qui vous ont mis le grappins dessus... Ensuite, quand elle ont vu la caverne avec les trucs méga vieux elle se sont sauvé en courant. Elles sont tous comme ça, je l’ai connais tu sais. Je me mise à rire. Mais tu sais, pour en revenir à ce que je disais avant de déconner, Je veux pas risquer de salir quelque chose qui vous serait précieux. Que je dorme, dans le salon, dans la chambre de Stefan ou même dans la tienne. Tu as vu dans quel état je suis. Couverte de boue, et mes cheveux... N’en parlons même pas.

Damon lâcha ma main pour changer de vitesse. Je mis mes deux mains sur mes cuisses et regarda autour. Sa voiture était vraiment classe, et lui n’en parlons même pas. Je pris une profonde inspiration pour me calmer. Je crois que sa marchait bien entre nous deux. Déjà j’allais dormir chez un mec, sympa et canon. Je l’aimais bien je devais dire.

- Pour ce qui est de ma famille, ne t’inquiète pas. Ça arrive. Comme tu dit, il peut toujours y avoir pire dans la vie. J’aurais pu les voir souffrir longtemps avant de mourir. Enfin, je suis heureuse de t’avoir rencontrer moi aussi. Je me suis jamais bien amusé comme aujourd’hui, surtout une journée ou il pleut. Par chance la journée n’est pas fini, et elle se prolonge jusqu’à une nuit, et peut-être une deuxième journée, si tu le veux bien.

Je me mise à rire une nouvelle fois.

- Je t’aime bien Damon, je sens qu’on va bien s’amuser toi et moi. Mais tu sais, tu n’est pas obligé de changer pour moi. Même si sa me touche beaucoup. Vraiment.

Je me calla dans mon siège et ferma un instant les yeux. Tout simplement pour me détendre comme il disait. Je sentais le vent sur mon visage et franchement sa me fessait sentir bien. Je garda les yeux fermé et prit la parole :

- Il faut croire que ton frère est un peu plus sage que toi. Mais bon, je crois qu’il faut savoir lâcher son fou parfois. Stefan est très gentil, mais je doit t’avouer que tu viens de me confirmer ce que je croyais. Du moins, Stefan ne lâche pas trop son fou à l’école. Tu comprend.

Sa promettait d’être vraiment bien tout ça. Je ne risquais pas de m’ennuyer. Déjà passer un moment seule avec lui, personne autour, dans sa chambre serait le moment que j’attendrais le plus avec impatience, sans bien sur trop le montrer. Enfin, peut-être sauf si j’avais le privilège de dormir dans son lit, à ses côtés de préférence. Je me surpris à sourire.

- Tu sais, je ne te trouve pas compliqué à comprendre. Ce n’est pas parce que tu n’est pas comme moi, j’eu un petit rire, je veux dire que tu n’aime pas autant parler que moi que tu est dur à comprendre. Sa se peut quoi !

- Bah c’est clair. C’est toujours bien de se confier, ou même de tout simplement parler un peu avec quelqu’un. D’ailleurs, si il y avait une matière ou ont devrait faire du social, j’aurais toujours la meilleure note.

J’ouvrai les yeux pour le regarder quelques secondes. C’était vrai qu’ils ne se ressemblaient pas. Pourtant, ils avaient un petit quelque chose qui les unissaient. Quand tu savais qu’ils étaient frères tu les regardaient les deux et aussi différents était-il tu les croyait sur le champs.

J’allais refermer les yeux mais il tourna sur ce qui semblait être une entrée. Je regarda la pension et franchement c’était un manoir. C’était tellement beau. J’adorerais un jour, habiter dans une de ses maisons. Elle était tellement belle que c’était clair qu’elle devait valoir assez chère. Il était sur que les Salvatore n’était pas se genre de personne qui arrivaient sans vraiment les moyens de s’acheter une maison. Enfin peut-être le pouvait-il...mais pas une maison comme celle là.

- Vraiment Damon, c’est super où tu habite. Je n’en reviens pas comme c’est beau.